Cisca Zarmansyah: Mon père, ce héros au sourire si doux. Suivi d'un seul housard qu'il aimait entre tous. Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille. Parcourait à cheval, le soir d'une bataille. Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l'ombre entendre un faible bruit. C'était un Espagnol de l'armée en déroute. Qui se traînait sanglant sur le bord de la route. Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié. Et qui disait, "A boire! à boire par pitié!" Mon père, ému, tendit à son housard fidèle. Une gourde de rhum qui pendait à sa selle. Et dit, "Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé." Tout à coup, au moment où le housard baissé. Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de maure. Saisit un pistolet qu'il étreignait encore. Et vise au front mon père en criant, "Caramba!" Le coup passa si près que le chapeau tomba. Et que le cheval fit un écart en arrière. "Donne-lui tout de même à boire," dit mon père. ─
VICTOR HUGO (1802-1885)
You,
Jan Pepijn Servaas,
Valentino Vie,
Fairuz Azalia and 2 others like this.
Almira Izzati: caramba! gee...
Pranay Suresh: Sweet beats, ... as sweet as milk coffee on a rainy night. I almost can't distinguish which one of you is sweeter if you're with them. Yesterday I received a letter from my mother. At the end of the letter she taught me to say Ami tomake bhalobashi to another friend in my hometown.
Pranay Suresh : and I say, "Hum tumhe pyar karte hae"
Fairuz Azalia :
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